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Au cours de la semaine passée TESLA a baissé de 315,55 le 24 novembre à 306,53 à la clôture du 1er décembre. Simultanément Wall Street, représenté par l'indice S&P 500 a monté de 2 600 le 24 novembre à 2 642 le 1er décembre. La journée de vendredi a été agitée sur Wall Street après l'inculpation de Michel Flynn qui va balancer le gendre de Trump. Wall Street a chuté avant de rebondir mais TESLA n'a pas bougé pendant ce temps ce qui prouve bien que cette action vit isolée de la réalité du reste du marché. De toute façon ces derniers développement politiques ne devraient, effectivement avoir aucune influence sur le marché. Il n'y a aucune chance d'un "impeachment" de Trump. Par contre, après la clôture il y a eu une bonne nouvelle pour le marché: l'accord du Congrès américain pour une baisse des impôts sur les sociétés à 20% dès 2017 . La réaction de la Bourse devrait-être très positive. Mes calculs montrent que ça devrait la faire monter d...

#Tesla détrôné par #Bitcoin ?

Aujourd'hui 29 novembre Bitcoin a dépassé 11 000 $ quelques heures après avoir dépassé 10 000 $. Simultanément TESLA perd 4 % au moment où j'écris ces lignes. Qu'il y a-t-il de commun entre TESLA et Bitcoin cette cryptocurrency basée sur la technologie "blockchain"? Les deux n'ont aucune valeur intrinsèque. TESLA perd chroniquement de l'argent et n'arrive à fabriquer que quelques centaines de voitures Model 3 qui est supposé être l'avenir de la société. Bitcoin n'a aucune valeur sinon purement spéculative: vous ne pouvez pas acheter un appartement ou me^me une voiture et payer avec des  Bitcoins, seulement de la drogue ou peut-être des armes. Bitcoin et Tesla sont achetés uniquement par le public. Les banques, les investisseurs institutionnels n'y touchent pas. Goldman Sachs a un objectif de prix en baisse de 50% par rapport aux cours actuels. Jamie Dimon, le patron de JP Morgan, la plus grande banque du monde a qualifié Bitcoin d...

Pourquoi TESLA est différent ?

Alors que TESLA vend moins de 100 000 voitures et perd 1 Milliard de Dollars par an, la société d'Elon Musk vaut plus que General Motors qui vend 10 Millons de voitures et gagne 1 Milliard de Dollar par an. L'explication des rares analystes qui estiment cette valorisation justifiée (l'objectif de prix de Goldman Sachs à 6 mois est une chute du cours de l'action de 50%) est qu'il ne s'agit pas d'une firme d'automobile pas d'une firme de technologie. Mais les Google, Amazon ou Facebook, ou, à une autre époque Microsoft, n'ont pas les valorisations qu'elles ont parce qu'elles sont des firmes de technologie mais parce qu'elles sont des monopoles. Ce qu'avait parfaitement compris le premier Jeff Bezos c'est que les pertes importent peu tant qu'elles permettent d'éliminer toute la concurrence. Les investissements des Venture Capitalists dans la Valley sont concentrés sur les sociétés qui peuvent se trouver en situation...

HSBC et le Feng Shiu

Au siège social de HSBC à Hong Kong, selon le Feng Shui, cet ancien système Chinois visant à harmoniser chacun avec son environnement,  l'escalator pour les employés est orienté de façon à porter chance. L'escalator destiné aux clients, lui, est orienté de façon à apporter le mauvais sort... Peut-être que les intérêts des clients ne sont pas tout à fait alignés avec ceux de la banque... Jean Jacques Chenier  

La dette de Tesla se traite au dessous du pair.

Les obligations pourries émis par Tesla, au début du mois sont sous pression. Les 1,8 Milliards de Dollars d'obligations à 8 ans vendues par le fabricant de voitures US ont baissé depuis qu'elles ont été émises. Le "spread", (la prime que demandent les investisseurs pour acheter des obligations plutôt que des Bonds du Trésor) des obligations de Tesla s'est élargi de 320 points de base (1% = 100 points de base) à 349 points de base au moment de leur émission. En d'autres termes les prêteurs commencent à se demander si Tesla pourra les rembourser. Jean Jacques Chenier avait déjà émis des doutes quant à cette émission qui a peu de sens pour une compagnie qui n'a jamais fait que des pertes et qui devrait continuer pour un bon bout de temps et qui, par conséquent n'a aucun avantage fiscal à déduire les intérêts qu'elle paye. Les investisseurs en obligations, particulièrement en obligations pourries, n'ont pas le même profit que les investisseu...

A Propos de RISQUE

A propos du RISQUE Dans tous domaines de la finance il est, de nos jours, admis que : RISQUE = VOLATILITÉ C'est considéré comme une vérité par tout le monde même si ça n'est pas parfait. Il y a une seule personne qui a émis des doutes à ce sujet et paradoxalement, c'est Warren Buffet. Il a dit que , si l'on investissait pour le long terme, la volatilité n »avait peut-être pas d'importance. C'était le résultat à l'arrivée qui comptait et pas le chemin pour y arriver. Si l'on prend le S&P 500 comme référence, c'est vrai …. mais sur une période minimum de 70 ans. Ca peut donc s'appliquer à des family offices qui investissent pour les deux générations à venir mais, pour n'importe qui d'autre, on peut partir du postulat que risque = volatilité. Jean Jacques Chenier soupçonne fort Warren Buffet d'avoir lancé cette idée pour justifier sa performance qui n'est pas si impressionnante que sa promotion le laisse ...

Investir en Hedge Funds de Jean Jacques Chenier

Les Hedge Funds font fantasmer et ils fascinent. Ils sont accusés indifféremment d’être secrets, de manipuler les marchés ou d’être risqués. Et ils seraient réservés à une élite financière ! En réalité ils sont généralement moins risqués que la gestion traditionnelle et devraient faire partie de tout portefeuille diversifié. Et, contrairement aux idées reçues, les meilleurs ne sont pas réservés aux multi-millionaires. Ce livre de Jean Jacques Chenier s'adresse à tous ceux qui ne sont pas satisfaits par les résultats qu’a obtenu leur portefeuille avec la gestion traditionnelle et qui veulent considérer toutes leurs alternatives sans tabou. Jean Jacques Chénier est né à Strasbourg. Il a obtenu un DESS en Droit des Affaires à la faculté de Droit des Affaires à la faculté de Droit de la rue d'Assas et une Licence de Sciences Économiques au Panthéon. Il a commencé sa carrière à la Bourse de Commerce de Paris où se traitait, à l'époque, le sucre, le cacao et le ca...